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Sibyl Vane : Paradoxes
Il y a d’abord cette aurore sombre, nimbée d’électronique. S’éveillent ensuite une batterie hors norme, inventive, un piano empreint de spleen, et, plus tard, les nappes vibratiles d'un clavier et la voix déchirée/déchirante de Bernard Cabarrou. Alor... Lire la suite
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